dimanche 15 avril 2012
samedi 14 avril 2012
Soirée photos anciennes
Samedi 14 avril se déroulait à Marcq une soirée avec projection de photos anciennes, organisée par le comité des fêtes.
mardi 10 avril 2012
Une invitée de Marcq aux Tourelles, article de l'Union du 10/04/2012
Destination les paysages de toutes teintes aux Tourelles. Peintre dilettante et intuitive de 70 printemps passés, Jacqueline Tellier, de Marcq, dévoile ses toiles au fil de sa première expo.
Un nouveau talent sort de l'ombre aux Tourelles. Jusqu'au 18 avril, le centre culturel accueille les toiles impressionnistes de Jacqueline Tellier, inspirées d'une palette de paysages naturels.
Et puis, voilà quelques années, le petit aiguillon de l'évasion par la création titille à nouveau la retraitée. « Un jour j'ai dit à mon mari que je dessinais un peu et il a voulu que je lui montre », se souvient l'artiste alors en veille. « Et il faut croire que ça lui a plu parce qu'il m'a poussée à m'y remettre. Au début je peignais comme ça à la gouache sur des feuilles quand j'avais cinq minutes et puis je suis tombée sur une promo de toiles et de peinture acrylique il y a quatre ans et ça a tout de suite pris une autre dimension. »
Van Gogh, Pissarro, Renoir, Monet… Avant de se lancer dans ses propres créations, la dilettante commence par copier ses peintres préférés dès qu'une image lui tape dans l'œil.
« Elle scrutait à la loupe les petites reproductions de tableaux sur les encyclopédies pour les copier, je lui disais tu vas t'esquinter les yeux ! », se souvient son mari, Philippe Tellier.
Mais les yeux ont tenu bon, et les toiles ont commencé à habiller petit à petit tous les murs de leur maison.
Remède contre l'arthrose
Désormais, l'artiste peut ainsi passer des heures, assise devant son chevalet, jusqu'au crépuscule… ou jusqu'à ce que son arthrose se rappelle à elle.
« Ça a commencé il y a plusieurs années et la peinture a été un dérivatif », explique Jacqueline Tellier. « Il y a plein de choses que je ne peux plus faire comme passer l'aspirateur, mais quand je peins, j'oublie tout, je ne pense plus à la douleur jusqu'à la fin de la journée, où elle est vraiment trop forte. »
Son pinceau a parfois croqué ses proches, mais la septuagénaire ne cache pas son goût pour les paysages. « Je préfère peindre la nature, sur un portrait on ne peut pas improviser mais là on peut interpréter son propre paysage », sourit celle qui n'a jamais pris un cours de peinture. « Je commence par faire une esquisse sur la toile et après c'est le pinceau qui marche tout seul. Moi qui suis de formation scientifique, là ça ne l'est pas du tout, c'est au feeling… »
« J'ai essayé de m'y mettre, mais il n'y a rien à faire. Elle a un don », ponctue son époux.
Le regard de l'amour, direz-vous ? Ne reste plus qu'à en juger…
Au creux de sa ruelle Perdue, cette habitante de Marcq vagabonde, depuis quatre ans, au gré des tracés de son pinceau.
« Je suis ingénieur de profession, ça n'a rien à voir, mais j'ai toujours aimé dessiner et peindre quand j'étais gamine. Je copiais des tableaux qui me plaisaient et puis après avec le travail, on n'a pas le temps et j'avais laissé ça de côté », explique la septuagénaire.
« Je suis ingénieur de profession, ça n'a rien à voir, mais j'ai toujours aimé dessiner et peindre quand j'étais gamine. Je copiais des tableaux qui me plaisaient et puis après avec le travail, on n'a pas le temps et j'avais laissé ça de côté », explique la septuagénaire.
Van Gogh, Pissarro, Renoir, Monet… Avant de se lancer dans ses propres créations, la dilettante commence par copier ses peintres préférés dès qu'une image lui tape dans l'œil.
« Elle scrutait à la loupe les petites reproductions de tableaux sur les encyclopédies pour les copier, je lui disais tu vas t'esquinter les yeux ! », se souvient son mari, Philippe Tellier.
Mais les yeux ont tenu bon, et les toiles ont commencé à habiller petit à petit tous les murs de leur maison.
Remède contre l'arthrose
Désormais, l'artiste peut ainsi passer des heures, assise devant son chevalet, jusqu'au crépuscule… ou jusqu'à ce que son arthrose se rappelle à elle.
« Ça a commencé il y a plusieurs années et la peinture a été un dérivatif », explique Jacqueline Tellier. « Il y a plein de choses que je ne peux plus faire comme passer l'aspirateur, mais quand je peins, j'oublie tout, je ne pense plus à la douleur jusqu'à la fin de la journée, où elle est vraiment trop forte. »
Son pinceau a parfois croqué ses proches, mais la septuagénaire ne cache pas son goût pour les paysages. « Je préfère peindre la nature, sur un portrait on ne peut pas improviser mais là on peut interpréter son propre paysage », sourit celle qui n'a jamais pris un cours de peinture. « Je commence par faire une esquisse sur la toile et après c'est le pinceau qui marche tout seul. Moi qui suis de formation scientifique, là ça ne l'est pas du tout, c'est au feeling… »
« J'ai essayé de m'y mettre, mais il n'y a rien à faire. Elle a un don », ponctue son époux.
Le regard de l'amour, direz-vous ? Ne reste plus qu'à en juger…
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